Coup de projo

Avec ce beau temps, qui semble revenir, on a des envies d’ailleurs. On se dépayse dans l’assiette et on mange africain, au Teranga, qui signifie hospitalité au Sénégal. Un nom bien mérité. Alain Diatta, le chef et sa maman, qui lui a tout appris, y accueillent les clients, beaucoup d’habitués, avec un grand sourire. On y mange sur place ou à emporter les spécialités du pays, poulet Yassa, braisé et sa sauce d’oignons émincés, citronnés et caramélisés ou mafé poulet à la pâte d’arachide ou encore les thiep rouge bœuf ou poisson. Tout est succulent, servi généreusement et à des prix

On  a croisé Florence, rue Droite, sous un beau soleil narbonnais, sur le pas de porte de sa boutique Traces chaussures. Elle l’a rachetée il y a un mois après y avoir travaillé un temps avec l’ancienne propriétaire et en être tombé amoureuse. Elle y a apporté sa touche personnelle, très colorée et branchée. Cette enfant d’Angoulême a suivi son papa à Narbonne, en1973 quand il a repris le Buffet de la gare. Impossible de ne pas remarquer Florence et son style original. Perfecto avec des inscriptions, jupe en cuir assortie. Ses chaussures viennent évidemment de sa boutique, et sont signée Equitare,

Quand son crayon court sur la page de garde d’une de ses bandes dessinées, qu’un Buck Danny ou une pin up naît en trois coups de cuillère à pot, on suit le trait de Jean- Michel Arroyo avec une fascination qui étonne toujours ce grand timide. Il a pourtant accepté que l’on se penche au dessus de son épaule pour suivre pas à pas, la gestation de son futur album, L’île des riches. Un privilège qu’il accorde à ehlesfilles.fr. Au fil des mois, suivons ce chemin de création. Et pour faire connaissance avec ce dessinateur biterrois, rendez-vous ce samedi 16 avril,

Pour écouter l’interview,cliquez: Elle s’appelle Claire GATECEL et a bien voulu s’ouvrir en interview à Radio Peinard Skyrock.Elle est exceptionnelle parce que femme, parce qu’impliquée dans nos vies par ses vies.Sa simplicité, elle la tient de son caractère et de sa vie professionnelle.Médecin réanimatrice en milieu hospitalier, elle sait la valeur essentielle qui est notre bien le plus précieux, la vie. Elle y consacre ses nuits et ses jours, pour redonner vie à ceux qui en côtoient la fin.Son implication dans la citoyenneté, elle la trouve dans la politique au sens noble du terme. Conseillère Régionale d’Occitanie, elle se consacre au

En ce mardi 8 mars, journée internationale des droits de la femme, le Barreau de Béziers accueille toutes les femmes lors d’une consultation entièrement gratuite, assurée par les avocats, de 10 h à 12 h, au foyer l’ABES avenue Wilson, à Béziers. La bâtonnière Dominique Vial-Bondon, en dit un peu plus sur cette démarche.  Pourquoi cette initiative ? La formation au droit est la première clef de l’émancipation. Le barreau de Béziers a décidé de fêter l’anniversaire du 8 mars, en proposant un accès au droit aux plus démunies. Mais nous accueillons évidemment toutes les femmes. Il suffit de se présenter dans

Au gré du lèche-vitrines et plus si affinités, on entre dans Le petit monde de Marie, au 11 rue Mairan, à Béziers, ouvert en novembre. « Cela me ressemble, c’est mon monde,  j’ai ma petite clientèle, j’aime les gens, la mode, la relation de confiance, le conseil.  Je préfère dire la vérité quand une pièce ne convient pas plutôt que l’on regrette son achat.» D’ailleurs les clientes de Marie Munos l’ont suivie dans les différentes enseignes de prêt-à-porter où elle a travaillé. Et sont restées fidèles quand elle s’est lancée en solo. « Je connais leur goût et leur style ». Fidèle à ses racines,

On vient chez Mimi Escriva, autant pour la décoration que pour sa viande d’Aubrac, charolaise bourguignonne, salers auvergnates, rouge des prés ou autres blondes de Galice, maturées en chambre, comme avant finalement. A Hérépian, sur le chemin du Caroux et de l’Espinouse, enfin plutôt de retour de randonnée, plus compatible avec un pied de cochon, une tête de veau, un foie gras poêlé ou un hamburger juteux à étages, l’Artichaud garde son rond -point depuis plus de trente ans. Le bistrot est resté dans son jus de 1860, avec ses banquettes en moleskine, zinc et serveur en  gilets. Mais Michel et

Il était une fois une petite princesse de style qui chaussait des bottes à lacets plutôt gothiques sous une jupe à volants corsetée à la Maryline Monroe. Anouk, lycéenne de 16 ans, qualifierait son look d’alternatif, de très personnel en tout cas. Goth Lolita, c’est le nom de cette tendance qui a pour ambassadrice, la jeune actrice Mélanie Martinez à la chevelure bicolore. « Comme elle, j’aime les tons pastels, les motifs enfantins. Comme beaucoup d’ados, nous sommes influencés par les mangas, les films d’animation japonais ».  D’ailleurs, ne serait-ce pas Calcifer qui pend à ses lobes d’oreille ? Anouk a